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CHAPELLE DU PRECIEUX SANG
20 juillet 2007

Je suis le Seigneur ton Dieu qui frappe à la

Je suis le Seigneur ton Dieu qui frappe à la porte de ton coeur ; je connais ta misère et les tribulations de ton âme, la faiblesse et les infirmités de ton corps ; je sais le poids de ta lâcheté, de tes péchés et de tes défaillances continuelles ; pourtant je te dis sans cesse : « Mon enfant laisse-moi t’aimer ; donne-moi l’amour de ton cœur indigent ; aime-moi tel que tu es. »

N’attends pas d’être un ange pour m’aimer, sinon tu ne m’aimeras jamais. Même si tu retombes dans ces fautes que tu ne voudrais jamais commettre, même si tu as du mal à pratiquer la vertu, que tu sois dans la fidélité ou dans l’infidélité, pourtant je te dis sans cesse : « Mon enfant laisse-moi t’aimer ; donne-moi l’amour de ton cœur indigent ; aime-moi tel que tu es. »

Du fond de ta misère, du plus profond de ta détresse, je veux voir monter ton amour ; c’est le chant de ton cœur qui m’importe. Je n’ai pas besoin de ta science ni de tes talents : ce ne sont point des vertus que je te demande, et quand je t’en donnerais, tu es si faible que l’amour-propre ne tarderait pas à s’y mêler. Je suis ton Père qui te dis sans cesse : « Mon enfant laisse-moi t’aimer ; donne-moi l’amour de ton cœur indigent ; aime-moi tel que tu es. »

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